Desserte transfrontalière 2030 dans le Haut-Lac élargi, Lac Léman
Les liaisons lacustres transfrontalières jouent un rôle important pour la mobilité notamment des travailleurs frontaliers habitant sur la rive sud du Lac Léman et travaillant dans le canton de Vaud. Des études menées par Citec dès 2015 ont conduit à l’achat de deux nouveaux bateaux (NaviExpress). En cours de livraison, ils permettront d’améliorer la capacité de chaque ligne et l’offre sur la N1 (cadence 45 min au lieu de 90 min). Cette étude doit permettre de préciser l’étape suivante du développement de l’offre lacustre transfrontalière à l’horizon 2030. Pour y parvenir, la pertinence d’ouvrir de nouvelles lignes ainsi que leurs impacts sur la demande routière contournant le lac ont été évalués. Les besoins en aménagements et offre connexe pour permettre une bonne accessibilitéà l’offre lacustre ont été identifiés.
Prestations :
Transports collectifs
Maître d’ouvrage :
Canton de Vaud, Direction générale de la mobilité et des routes (DGMR)
Lieu :
Lac Léman (Suisse, France)
Année :
2022-2023



Caractéristiques du projet
- 5’000 frontaliers traversant le Haut-Lac entre 2022 et 2030
- 3 ou 4 nouveaux navires nécessaires en plus des deux NaviExpress en cours de livraison
Rôle de Citec
- Analyse de l’attractivité des débarcadères en terme d’accessibilité TIM et TP en France et en Suisse
- Comparaisons des liaisons en voiture et en bateau+ transport public sur le pourtour du Léman
- Modélisation des flux frontaliers et des itinéraires préférentiels à l’aide du logiciel VISUM
- Comparaison de 6 scénarios de développement du réseau lacustre
- Calcul des coûts d’exploitation et d’investissement liés à la mise en place du futur réseau lacustre
- Recommandations aux autorités sur les choix stratégiques et le parc navigant nécessaire